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Böcker i Biographies et memoires-serien

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  • av William Gershom Collingwood
    350,-

    " If origin, if early training and habits of life, if tastes, and character, and associations, fix a man's nationality, then John Ruskin must be reckoned a Scotsman. He was born in London, but his family was from Scotland. He was brought up in England, but the friends and teachers, the standards and influences of his early life, were chiefly Scottish. The writers who directed him into the main lines of his thought and work were Scotsmen from Sir Walter and Lord Lindsay and Principal Forbes to the master of his later studies of men and the means of life, Thomas Carlyle. The religious instinct so conspicuous in him was a heritage from Scotland; thence the combination of shrewd common-sense and romantic sentiment; the oscillation between levity and dignity, from caustic jest to tender earnest; the restlessness, the fervour, the impetuosity all these are the tokens of a Scotsman of parts, and were highly developed in John Ruskin.P. 13In the days of auld lang syne the Rhynns of Galloway that hammer- headed promontory of Scotland which looks towards Belfast Lough was the home of two great families, the Agnews and the Adairs. The Agnews, of Norman race, occupied the northern half, centring about their island-fortress of Lochnaw, where they became celebrated for a long line of hereditary sheriffs and baronets who have played no inconsiderable part in public affairs. The southern half, from Portpatrick to the Mull of Galloway, was held by the Adairs (or, as formerly spelt, Edzears) who took their name from Edgar, son of Dovenald, one of the two Galloway leaders at the Battle of the Standard. Three hundred years later Robert Edzear who does not know his descendant and namesake, Robin Adair? settled at Gainoch, near the head of Luce Bay; and for another space of 300 years his children kept the same estate, in spite of private feud, and civil war, and religious persecution, of which they had more than their share..."

  • av Emile Verhaeren
    350,-

    " Emile Verhaeren (21.5.1855 - 27.11.1916) war ein belgischer Dichter.Verhaeren studierte Rechtswissenschaft an der Katholischen Universität Löwen, wo er 1879 erste eigene Artikel in Studentenzeitschriften veröffentlichte.Beeinflusst durch Schriftsteller und Künstler der Avantgarde entschied er sich früh, seine juristische Laufbahn aufzugeben und Schriftsteller zu werden."

  • av Karl Philipp Moritz
    350,-

    " Anton Reiser wurde 1785 veröffentlicht und ist wohl der bedeutendste Roman des deutschen 18. Jahrhunderts. Als Zeitgenosse von Goethes Werther (1774) erlangte es schnell Berühmtheit, was ihm Übersetzungen in Italien und in angelsächsischen Ländern einbrachte ¿ und sogar in Frankreich, wo es jedoch seit dem ersten Kaiserreich nicht mehr nachgedruckt wurde.Es handelt sich um einen autobiografischen Bericht, der, so der Autor, ¿das von der Bourgeoisie unterdrückte Gefühl¿ beschreibt. Zu diesem soziokulturellen Thema kommen jedoch noch weitere Elemente hinzu ¿ der hypochondrische Charakter der zärtlich geliebten Mutter, das Unverständnis und die Härte des Vaters usw. _ ebenso wichtig, dem Anton Reiser seinen Ruf als erster deutscher ¿psychologischer¿ Roman verdankt. Beseelt von dem unnachgiebigen, schmerzhaften, ¿masochistischen¿ Wunsch, sich ohne Verkleidung zu präsentieren (Einfluss von Rousseaus ¿Bekenntnisse¿), sucht der Held von Karl Philipp Moritz in der Kunst, insbesondere im Theater, einen Zufluchtsort gegen seine Qualen und seinen Narzissmus."

  • av Stefan Zweig
    350,-

    " Joseph Fouché, einer der mächtigsten Männer seiner Zeit, einer der merkwürdigsten aller Zeiten, hat wenig Liebe gefunden bei seiner Mit- welt und noch weniger Gerechtigkeit bei der Nachwelt. Napoleon auf St. Helena, Robespierre bei den Jakobinern, Carnot, Barras, Talleyrand in ihren Memoiren, allen französischen Geschichtsschreibern, ob roya- listisch, republikanisch oder bonapartistisch, läuft sofort Galle in die Fe- der, sobald sie nur seinen Namen hinschreiben. Geborener Verräter, armseliger Intrigant, glatte Reptiliennatur, gewerbsmäßiger Überläufer, niedrige Polizeiseele, erbärmlicher Immoralist ¿ kein verächtliches Schimpfwort wird an ihm gespart, und weder Lamartine noch Michelet noch Louis Blanc versuchen ernstlich, seinem Charakter oder vielmehr seiner bewunderswert beharrlichen Charakterlosigkeit nachzuspüren. Zum erstenmal erscheint seine Gestalt in wirklichem Lebensumriß in je- ner monumentalen Biographie Louis Madelins (der diese wie jede ande- re Studie den Großteil ihres Tatsachenmaterials verdankt); sonst hat die Geschichte einen Mann, der innerhalb einer Weltwende alle Parteien ge- führt und als einziger sie überdauert, der im psychologischen Zwei- kampf einen Napoleon und einen Robespierre besiegte, ganz still in die rückwärtige Reihe der unbeträchtlichen Figuranten abgeschoben. Ab und zu geistert seine Gestalt noch durch ein Napoleonstück oder eine Napoleonoperette, aber dann meist in der abgegriffenen schematischen Charge des gerissenen Polizeiministers, eines vorausgeahnten Sherlock Holmes; flache Darstellung verwechselt ja immer eine Rolle des Hinter- grunds mit einer Nebenrolle."

  • av Pierre-Edouard Fournier Laplace
    350,-

    " ¿and Beaumarchais disait, prenant pour devise un hémistiche du Mahomet de Voltaire : « Ma vie est un combat, " il disait vrai, mais il ne disait pas assez. Sa vie fut tout ensemble un combat et un tourbillon enveloppant, entraînant, mêlant tout, dans un conflit de faits et de choses, qui est peut-être, et nous allons le prouver, le plus étrange, le plus ondoyant, le plus divers, qui ait jamais agité une existence humaine.Le caractère de l¿homme fut toutefois plus étonnant encore que sa vie par la façon dont il s¿y montra toujours, comme son Figaro, « supérieur aux événements ; " par sa ténacité, à l¿invincible sourire, car son intrépidité toute française avait un peu de celle du Béarnais, dont un poète a dit : « Son courage riait ; " par sa verve surtout et par son esprit, qui furent, sans faiblir un instant, la chaleur et la clarté de ce¿e fournaise ; enfin, par l¿aplomb infatigable et la multiplicité de ressources qui, en tant de circonstances, le dégagèrent de l¿imbroglio de sa vie, comme Figaro, son image et son reflet, bien plus encore que sa création, se dégage de l¿imbroglio de sa comédie."

  • av Romain Rolland
    350,-

    " Le sujet de ce livre n¿est pas la guerre, bien que la guerre le couvre de son ombre. Le sujet de ce livre est l¿engloutissement de l¿âme individuelle dans le gouffre de l¿âme multitudinaire. C¿est, à mon sens, un événement beaucoup plus gros de conséquences pour l¿avenir humain que la suprématie passagère d¿une nation. Je laisse délibérément au second plan les questions politiques. Il faut les réserver pour des études spéciales. Mais quelques causes qüon assigne aux origines de la guerre, quelles que soient la thèse et les raisons qui l¿étayent, aucune raison au monde n¿excuse l¿abdication de l¿esprit devant l¿opinion.Le développement universel des démocraties, mâtinées d¿une survivance fossile : la monstrueuse raison d¿État, a conduit les esprits d¿Europe à cet article de foi que l¿homme n¿a pas de plus haut idéal que de se faire le serviteur de la communauté. Et cette communauté, on la définit : État."

  • av Maurice Barrès
    350,-

  • av Leon Seche
    350,-

    "Pourquoi ? peut-être parce qüil a plu un jour à Sainte-Beuve d¿écriredans son Tableau de la poésie française au XVI e siècle, « qüil n¿y avait pas de restes authentiques de l¿ancien manoir du poète, et que tout ce que l¿onsavait de lui , à Liré, c¿est qüun grand homme y avait vécu jadi ».C¿est pourtant ainsi que se font les légendes. Je me demande où Sainte-Beuve avait puisé ces renseignements."

  • av Madeleine de Scude¿ry
    706,-

    " Un écrivain que nous aurons à citer souvent, parce qu'en traçant l' HISTOIRE DE LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE AU DIX-SEPTIÈME SIÈCLE, il a pris pour guide celle à qui le présent volume est consacré, M. Cousin, a exprimé plus d'une fois le regret «qu'à la fin du dix-septième siècle, ou dans le premier tiers du dix-huitième, on n'ait pas eu l'idée de recueillir les petits vers si agréablement tournés que Mlle de Scudéry laissait échapper en toute occasion de sa veine facile, et qui charment à la fois l'esprit et l'oreille. On aurait pu y joindre, ajoutait-il, un choix de lettres sérieuses ou ba- dines sorties de la même plume. Nous sommes assuré qu'on eût composé ainsi un volume agréable.»"

  • av Anatole France
    350,-

    Attention texte d'introduction du maître-ouvrage de Romain Rolland et non version intégrale. " Mon premier devoir serait de faire connaître les sources de cette histoire ; mais L¿Averdy, Buchon, J. Quicherat, Vallet de Viriville, Siméon Luce, Boucher de Molandon, MM. Robillard de Beaurepaire, Lanéry d¿Arc, Henri Jadart, Alexandre Sorel, Germain Lefèvre-Pontalis, L. Jarry et plusieurs autres savants, ont publié et illustré les documents de toute sorte d¿après lesquels on peut écrire la vie de Jeanne d¿Arc. Je m¿en réfère à leurs travaux qui forment une opulente bibliothèque[1] et, sans entreprendre une nouvelle étude littéraire de ces documents, j¿indiquerai seulement, d¿une façon rapide et générale, les raisons qui m¿ont dirigé dans l¿usage que j¿ai cru devoir en faire. Ces documents sont : 1o le procès de condamnation ; 2o les chroniques ; 3o le procès de réhabilitation ; 4o les lettres, actes et autres pièces détachées."

  • av Andre Suares
    350,-

    " Le 10 septembre, Tolstoï a eu soixante-dix ans. Le monde se fût honoré, en faisant de celui-là son jour de fête. Chaque époque a son héros : Tolstoï est celui de la nôtre ; car il est le plus humain de tous les hommes. Pour isolé soit-il, pour peu compris qüil puisse être, il n¿est pas moins le seul homme, où presque tous puissent reconnaître quelque chose de soi, et le seul qui pour chacun ait quelque chose. Une paysanne, un idiot, et même, pour ainsi dire, un chien, une bête, un humble animal, ont quelque lien avec lui, comme Napoléon, une âme d¿acier ou un esprit de prince. Le c¿ur de Tolstoï, et son imagination, sont l¿espace le plus vaste qüil y ait, aujourd¿hui, dans le monde ; et ce vieillard est le seul exemple qui nous ait été donné d¿une vie sublime. Que sa vieillesse puissante nous est chère : elle est encore la plus belle ¿uvre d¿un poète, à qui l¿on en doit de si grandes ; elle est un témoignage merveilleux du c¿ur en faveur de l¿esprit. Celui qui pouvait vivre de gloire n¿a plus voulu vivre que de charité. Et celui à qui le génie eût dû suffire n¿a pu se contenter à moins de l¿amour parfait."

  • av Emile Montegut
    350,-

    " Malgré les relations de plus en plus fréquentes qui s¿établissent entre nous et l¿Amérique, nous n¿avons encore de ce monde lointain qüune idée assez fausse. Nous le voyons à travers les romans de Cooper, les poèmes de Châteaubriand, quelquefois aussi à travers les récits des économistes. Tantôt l¿Amérique s¿offre à nous comme le pays des grands fleuves, des cataractes, des forêts impénétrables, des horizons sans bornes ; tantôt elle n¿est plus à nos yeux que le pays du commerce et des chemins de fer. A côté des immenses savanes, à côté du dédale des voies de fer et des canaux, on pourrait cependant explorer tout un monde trop peu connu, celui où s¿agite, où grandit la pensée américaine."

  • av Pierre de Ségur
    350,-

    " Pour se distraire des longues recherches que nécessite tout ouvrage historique, on a quelquefois la surprise de voir surgir des vieilles paperasses tel personnage qui semble un anachronisme vivant, débris oublié d¿un autre âge, spécimen isolé d¿une race dès longtemps abolie. L¿impression qüon ressent alors est un peu celle du voyageur qui, dans une région mal connue, apercevrait à l¿improviste quelque étrange animal, d¿une espèce classée comme éteinte par les naturalistes et rangée parmi les fossiles. Ainsi m¿est apparue, dans le cours d¿un travail récent, la figure sombre et redoutable de Christophe Bernard von Galen, prince-évêque de Munster dans le siècle de Louis XIV. Ce souverain ecclésiastique, véritable « fléau de Dieu » et fier de cette appellation, ce soudard en robe et en mitre qui, sur vingt-huit années de règne, compta plus de vingt ans de luttes et de batailles, tyran de ses sujets, épouvante des États voisins, pillard, perfide et sanguinaire, eût déjà, a-t-on dit, « fait scandale au XIIIe siècle [2], » à l¿époque des prélats guerriers dont la crosse était une massue. Mais qüun tel pasteur d¿âmes ait pu régner et prospérer au temps de Fénelon et de Bossuet, que son peuple l¿ait toléré, que les plus illustres souverains, ¿ et le Grand Roi plus qüaucun autre, ¿ aient cherché son alliance et cultivé son amitié, c¿est ce qui confond la pensée et dépasse l¿imagination. Mieux que de longues dissertations, de tels spectacles font comprendre combien ce grand XVIIe siècle, si « galant » et si policé quand on le regarde à distance, était, dans la réalité, proche par certains côtés des m¿urs brutales du moyen âge, quelle foncière rudesse d¿âme se dissimulait trop souvent sous la pompe fleurie du langage et la grâce des belles révérences."

  • av Andre Suares
    350,-

  • av Maurice Paléologue
    350,-

  • av France Anatole
    350,-

  • av Romain Rolland
    350,-

  • av Andre Suares
    350,-

  • av Romain Rolland
    350,-

  • av Andre Suares
    350,-

  • av Jean Bonnerot
    350,-

  • av Gilberte Perier
    350,-

  • av Gilberte Perier
    350,-

  • av David Friedrich Strauss
    570,-

  • av Romain Rolland
    350,-

  • av Andre Suares
    350,-

    " Vous frappiez à ma porte et j¿allais vous ouvrir ; Vous veniez le matin en porteur de nouvelle.Vos mains brunes serraient ma main conventuelle, Moi, le prieur, et vous, le bon frère martyr.À mon droit de me taire, à mon art de souffrir Vous avez pris souvent une part fraternelle. Vous étiez bien le fils que Notre-Dame appelle, Et le soldat de Dieu qui veut vaincre et mourir.Péguy, cher vigneron de la vigne de gloire, Vous aviez aux souliers la Beauce avec la Loire, Ô bon homme de pied et de pain au chanteau.Vous étiez âpre et juste et plein de bonne haine. Et vous avez porté sous un petit manteauLe grand c¿ur paysan de la Bonne Lorraine."

  • av Jules Simon
    350,-

    " L¿histoire de M. Maine de Biran touche aux circonstances les plus critiques de notre histoire contemporaine, et au premier développement de la philosophie qüon a depuis appelée la philosophie éclectique. Sa vie n¿offre qüun seul évènement, mais il s¿agit de la chute de l¿empire et de la première invasion du territoire ; sa philosophie roule sur une seule question, mais c¿est par l¿étude approfondie de cet unique point que la philosophie française a été renouvelée de fond en comble, ou du moins c¿est par là qüa commencé la grande révolution que nous avons vue s¿accomplir dans les méthodes et dans les idées. Mêlé toute sa vie aux plus grandes choses, il est resté volontairement obscur, pendant que ses amis s¿illustraient à côté de lui ; et, par une bizarre destinée, sans la publication de ses ¿uvres, effectuée après quinze ans, à travers mille obstacles, par les soins d¿une pieuse et persévérante amitié, la génération nouvelle ignorerait peut-être le nom de celui qui fut l¿ami le plus constant de M. Lainé, et que M. Cousin appelle son maître.Il y a près de trente ans que l¿école éclectique a été fondée. Les cours de M. Royer-Collard l¿établirent dès l¿abord avec autorité dans le monde scientifique et littéraire, et depuis, l¿enseignement et les ouvrages de M. Cousin lui ont donné cette importance et cet éclat que ses ennemis mêmes ne songent pas à contester. Qui ne sait de quelle popularité jouissait cette école sous les dernières années de la restauration, et de quelles attaques cette popularité fut bientôt suivie ?"

  • av Maurice Paléologue
    350,-

    " C¿est un rôle singulièrement délicat que celui qui incombe à la femme d¿un auteur célèbre, d¿un poète illustre, d¿un éloquent philosophe. Dans cette étrange comédie qui est la vie d¿un grand homme de lettres, ce n¿est pas généralement pour l¿épouse que les belles tirades ont été écrites : les passages à effet, les scènes qui enlèvent les applaudissemens des contemporains et qui retiennent l¿admiration béate de la postérité, sont accaparés par les rivales, par ce ch¿ur d¿héroïnes et d¿amantes, plus ou moins sincères et désintéressées dans leur passion, que tout noble écrivain a rencontrées sur sa route, et qui, cédant à la séduction du talent, à l¿heureuse puissance du génie, viennent s¿offrir à lui, comme Marguerite d¿Ecosse déposait l¿hommage de son baiser sur les lèvres d¿Alain Chartier endormi."

  • av Romain Rolland
    350,-

    " Au début de cette étude, j¿adresse mes remerciements affectueux à ma fidèle collaboratrice, ma s¿ur, et à mon ami Kalidâs Nâg, dont le grand savoir et l¿infatigable obligeance ont guidé mes pas dans la forêt de la pensée hindoue.Je remercie égaiement l¿éditeur S. Ganesan, de Madras, qui a mis à ma disposition une grande partie de ses publications."

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