av Alphonse Momas
246,-
"... Lucie et Héloïse avaient quitté leurs jupes, et toutes deux, en soixante-neuf sur le divan, Lucie par dessus, se dévoraient de chaudes caresses.Lucie, échauffée après son amie, se tortillait sous les yeux d'Émile, debout devant le divan, et l'admirant dans ses tendresses passionnées.- Dis, dis, murmurait-elle entre deux sucées, je ne perds pas ton amour, en rendant hommage à de telles beautés, que j'ai toujours aimées et qui toujours m'enflammèrent le sang !- Non, chérie, je comprends ton goût pour de si riches trésors, et je m'associerais à ton hommage, si nous étions plus à l'aise qu'ici.- Tiens, tiens, vois ma fleur, baise-la, caresse ou becquette entre mes cuisses, unissez vos langues sur mon petit bouton et je croirai que tu m'aimes encore.- Si je t'aime, si je t'aime ! Ô la jolie fleur, la jolie fleur ! Ah, mon amie, sa languette qui se tend vers la mienne, en travers de tes cuisses, ah, je suis à bout, à bout.- Attends, attends encore un petit peu..."Un livre réservé à un public majeur et averti et contenant des scènes érotiques. Il plaira aux amoureux de lectures érotiques et coquines.