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  • av Charles Louandre
    410,-

    "C'est une croyance universelle, et pour ainsi dire une tradition native du genre humain, que l'homme, à l'aide de certaines formules et de certaines pratiques, empruntées tantôt à la religion, tantôt à la science, peut changer les lois éternelles de la nature, soumettre à sa volonté les êtres invisibles, s'élever au-dessus de sa propre faiblesse, et acquérir la connaissance absolue et la puissance sans limites. Ces dons supérieurs auxquels il aspire, il les demande indistinctement aux éléments, aux nombres, aux astres, aux songes, au principe éternel du bien comme au génie du mal, aux anges, à Satan. Égaré par son orgueil, il crée toute une science en dehors de l'observation positive; et, pour régner en maître absolu sur la nature, il outrage à la fois la religion, la raison et les lois. Cette science, c'est la magie, qui se divise, suivant les temps et les lieux, en une infinité de branches: cabale, divination, nécromancie, géomancie, philosophie occulte, philosophie hermétique, astrologie, etc., science empoisonnée dans sa source, qui se résume, au moyen âge, dans la sorcellerie, et qui, toujours maudite, toujours combattue par les lois de l'Église et de la société, reparaît toujours impuissante et convaincue."

  • av Charles Louandre
    186,-

    " C'était l'orgueil des rois de la vieille monarchie française d'être les fils aînés de l'église, et c'était aussi l'orgueil des cathédrales de Reims, de Notre-Dame et de l'abbaye de Saint-Denis d'être les églises et l'abbaye des rois. Dans les jours croyants et forts où la France se regardait comme le royaume aimé de Dieu, où l'idée abstraite de la patrie s'incarnait dans la royauté, où le sacre était la formule d'une adoption divine, Reims gardait le sceptre, emblème de la force, la main de justice, emblème du droit, et l'huile qui donnait au monarque, avec son caractère sacré, l'esprit d'équité et le don des miracles. Saint-Denis gardait l'oriflamme, cette bannière à la fois religieuse et chevaleresque qu'un ange, suivant une légende populaire, avait apportée du ciel comme un gage offert par le dieu des armées au chef des armées de la France. Notre-Dame, dans les solennités nationales, réunissait, pour les actions de grâce de la victoire ou les prières des grandes calamités, le roi de France et le peuple de Paris..."

  • av Charles Louandre
    186,-

    " En 1638, un théologien, dont la vie entière s'était absorbée dans la méditation des mystères de la foi, mourut en Hollande en léguant à ses héritiers un volumineux manuscrit qu'il avait, à différentes reprises, refait, corrigé, recopié de sa main. Le théologien recommandait à ses exécuteurs testamentaires de soumettre son ¿uvre à l'examen du Saint-Siège, et de la faire disparaître, si la sagesse des prélats romains y trouvait quelques doctrines contraires aux enseignements de l'église. Malgré cette volonté suprême, qui témoignait d'un respect profond pour la tradition catholique, le livre fut donné au public tel qu'il avait été écrit. Le théologien, c'était Corneille Janssen ou Jansenius, évêque d'Ypres. Le livre, c'était l'Augustinus, commentaire obscur et diffus des opinions de saint Augustin sur la grâce, ouvrage aride et d'autant plus inextricable que saint Augustin n'avait point, toujours été d'accord avec lui- même..."

  • av Charles Louandre
    186,-

    " L'histoire en France reste volontiers dans les limites de nos frontières, et quand elle les franchit, ce n'est en général que pour faire campagne à la suite de nos armées. Nos plus belles colonies, l'Inde, le Canada, la Louisiane, Haïti, occupent à peine quelques pages dans les volumineuses compilations de nos annalistes, et tout ce qui touche à cette France d'outre-mer, perdue sans retour, se borne à quelques dates, à quelques noms et à de stériles regrets. Non contents d'être oublieux, nous nous montrons encore injustes envers nous-mêmes, et nous calomnions notre pays en disant qu'il n'a ni le génie des voyages, ni le génie des découvertes, ni le génie de la colonisation. C'est là chez nous une opinion profondément enracinée dans un grand nombre d'esprits, mais, très heureusement, aussi fausse qu'elle est populaire, car il est à remarquer que, sauf les questions d'honneur et de gloire militaire, nous sommes toujours prêts, dans les grandes choses, à nous déprécier et dans les bagatelles à exagérer notre valeur. Qu'on examine en effet notre histoire, et l'on verra combien les reproches dont nous venons de parler sont peu fondés..."

  • av Charles Louandre
    186,-

    " On a dit avec raison que les langues, comme les peuples, ont leur âge d'or, leur âge d'argent, leur âge d'airain et leur âge de fer : il y a un idiome qui plus qu'aucun autre justifie cette remarque, c'est la langue latine. Elle règne d'abord avec les Romains sur le monde antique ; elle reste durant de longs siècles, dans la barbarie même du moyen âge, la langue officielle du gouvernement, de la religion, de la science, de la poésie; elle unit, comme un lien fraternel, les nations chrétiennes : c'est là son âge d'argent. Puis cet idiome se retire peu à peu devant les langues nouvelles, dont quelques-unes sont tout à la fois ses rivales et ses filles. Au moment même où la renaissance semble vouloir le ramener à sa pureté primitive, les réformés le bannissent de leurs temples, les gouvernements de leur diplomatie et de leurs lois. C'est l'âge de fer qui commence pour la langue latine. La science elle-même, en se vulgarisant, la chasse de ses livres, la poésie remplace par la rime ses dactyles et ses spondées, et seul le catholicisme, dans son immobilité surhumaine, lui garde toujours au fond du sanctuaire un inviolable asile..."

  • av Charles Louandre
    186,-

    " Quel est donc cet esprit de ténèbres, homme, serpent ou dragon, qui plane à tous les horizons du passé ? Dans le ciel, il blasphème et se bat avec les anges; sur la terre, il se sert de l'homme comme d'un cheval qu'il pique et monte à sa volonté ; il l'afflige, le tourmente, l'excite au péché, et, dans l'abîme, il le punit d'avoir péché. Il habite, avec les juifs, les carrefours tortueux des villes sombres du moyen-âge ; il se perche, comme les hiboux, sur les toits aigus des couvents, se glisse, la nuit, dans la cellule des nonnes, et va voler pour les magiciens des hosties dans les calices, des os dans les cercueils. Les saints en ont peur, Dieu s'en défie. Le grimoire enseigne comment on l'évoque, le rituel comment on le chasse. L'église le maudit, la sorcellerie l'adore. Cet esprit de ténèbres, c'est le démon de la théologie, le diable du conte monacal et de la tradition populaire..."

  • av Charles Louandre
    186,-

    " C'était au moyen-âge une croyance de la chrétienté, et pour ainsi dire un dogme traditionnel, que Dieu honorait la France d'une protection particulière et qu'il l'avait choisie pour son royaume terrestre. Cette croyance éclate dans l'interprétation des faits historiques, et se traduit en merveilleuses légendes. Les rois de France sont les fils aînés de l'église, et, comme symbole de cette adoption, Dieu envoie dans la cathédrale de Reims, par la colombe qui porte les messages célestes, l'huile du couronnement. La fiole de saint Remi trouverait aujourd'hui peu de croyants, même parmi les plus fervents soutiens du droit divin : le scepticisme moderne avait détruit le prestige longtemps avant que les terroristes eussent brisé le vase du sacre de Clovis ; mais, quoi qu'il en soit de la sainte ampoule, on ne peut douter que cette légende n'ait exercé une puissante influence sur les destinées de la royauté française, et par cela même sur les destinées du pays. Le couronnement de nos rois n'est pas un vain cérémonial d'investiture, c'est une solennité mystique dans laquelle Dieu leur confère des grâces particulières : l'esprit de justice, car dans l'ancienne monarchie toute justice découle du roi ; le don des miracles, car le roi de France, comme les saints, guérit les malades en les touchant. Il y a donc là dès l'origine, pour les faits merveilleux, une source qui ne tarira pas dans les âges de foi..."

  • av Charles Louandre
    186,-

    " Mabillon avait cinquante-trois ans lorsqu'il partit pour l'Italie. Né le 23 novembre 1632, à Saint-Pierremont, village du diocèse de Reims, il étudia dans cette ville, prit la tonsure à l'âge de dix-neuf ans, et, en 1658, il fut envoyé à l'abbaye de Corbie pour y occuper la charge de portier et de cellerier, c'est-à-dire de distributeur des aumônes. Tout en remplissant ces humbles fonctions, que relevait sa charité envers les pauvres, il composait pour l'office de saint Adalhard, abbé de Corbie, des hymnes remarquables par leur latinité et qui furent adoptées par l'église. Vers 1661, il passa à l'abbaye de Saint-Denis et fut chargé de montrer le trésor aux étrangers et aux visiteurs. Comme il avait des scrupules sur l'authenticité de certaines reliques, il demanda à quitter cet emploi, alléguant pour raison qu'il n'aimait point à mêler la fable avec la vérité. Le motif n'ayant point paru suffisant, il fut, à son grand regret, maintenu dans sa charge de cicérone ; mais un jour il lui arriva de casser par maladresse un miroir qu'on regardait à Saint-Denis comme l'une des pièces les plus curieuses du trésor, et qui avait, disait-on, servi à Virgile pour se faire la barbe..."

  • av Charles Louandre
    200,-

    Le moyen-âge présente un singulier phénomène. La société est assaillie par des maux sans nombre ; une plainte amère et profonde sort de chaque siècle : cette plainte, d'âge en âge, est répétée par l'histoire, et jusqu'à la renaissance, parmi ceux qui souffrent, qui discutent et qui pensent, personne ne cherche dans la constitution sociale et les lois, la cause et le remède des misères et des douleurs qui frappent fatalement chaque génération. L'esprit humain, dompté par la foi, accepte le mal comme le châtiment inévitable d'une faute héréditaire, et, en présence des réalités les plus désastreuses, son activité se concentre tout entière sur les abstractions de la métaphysique religieuse. Ce n'est point à la société, mais au dogme ou à l'église que s'attaquent les novateurs et les utopistes. Chaque réformateur s'annonce comme un prophète : la lutte des idées est, pour ainsi dire, transportée dans l'infini, et le moyen-âge, dans la sphère intellectuelle, n'est qu'un long tournoi théologique ; mais au XVIe siècle le génie de la controverse, épuisé par Luther et Calvin, retombe brusquement du ciel sur la terre; la théologie se retire de la scène active du monde pour se réfugier dans l'école ; le problème du bonheur terrestre remplace peu à peu le problème du bonheur éternel, et l'inquiétude des esprits, limitée aux intérêts positifs, se rejette violemment dans les controverses sociales...

  • av Charles Louandre
    186,-

    "... Les archéologues en province ne sont ni moins nombreux ni moins actifs que les numismates. Le mouvement a commencé, surtout en ce qui touche l'archéologie nationale, par la Normandie, et MM. de Gerville, de Caumont, Le Prévost en ont été les véritables promoteurs. Chacun, dans cette spécialité même, a pris une spécialité distincte, en s'attachant toujours à quelque province ou à quelque ville ; mais, par malheur et à force de particulariser, on est arrivé aux infiniment petits : après avoir fait plusieurs volumes sur un seul monument, on a fait des volumes sur un clocher, de gros articles sur de petites cloches, des mémoires sur des sonnettes de sacristie, témoins MM. Eloy Johanneau, Vergniaud Romagnesi et A. Dufaur de Pibrac. La faute, du reste, n'en est pas seulement aux érudits, mais bien aussi au comité des Arts de Paris, qui a encouragé les études microscopiques en leur attribuant une importance exagérée. Cette réserve faite, il est juste de reconnaître qu'il s'est produit d'excellentes choses, et comme preuve il suffit de jeter les yeux sur les travaux de M. F. de Vernheil à Nontron, l'abbé Texier à Clermont, Le Prévost à Évreux, Duval et Jourdain à Amiens, Mallet en Auvergne, Deville à Alençon, Voiliez à Beauvais, l'abbé Greppo à Belley, l'abbé Godard dans la Nièvre. Il y a là un ensemble d'études sérieuses, désintéressées, et qui méritent d'autant plus d'éloges qu'elles ont été poursuivies avec persévérance, sans le secours des bibliothèques et des grandes collections de la capitale, sans les encouragements du gouvernement, sans les fanfares de la critique..."

  • av Charles Louandre
    200,-

    " C'est une croyance universelle, et pour ainsi dire une tradition native du genre humain, que l'homme, à l'aide de certaines formules et de certaines pratiques, empruntées tantôt à la religion, tantôt à la science, peut changer les lois éternelles de la nature, soumettre à sa volonté les êtres invisibles, s'élever au-dessus de sa propre faiblesse, et acquérir la connaissance absolue et la puissance sans limites. Ces dons supérieurs auxquels il aspire, il les demande indistinctement aux éléments, aux nombres, aux astres, aux songes, au principe éternel du bien comme au génie du mal, aux anges, à Satan. Égaré par son orgueil, il crée toute une science en dehors de l'observation positive; et, pour régner en maître absolu sur la nature, il outrage à la fois la religion, la raison et les lois. Cette science, c'est la magie, qui se divise, suivant les temps et les lieux, en une infinité de branches: cabale, divination, nécromancie, géomancie, philosophie occulte, philosophie hermétique, astrologie, etc., science empoisonnée dans sa source, qui se résume, au moyen âge, dans la sorcellerie, et qui, toujours maudite, toujours combattue par les lois de l'Église et de la société, reparaît toujours impuissante et convaincue..."

  • av Charles Louandre
    186,-

    ... Jérôme Savonarole naquit à Ferrare, le 21 septembre 1452, d'une famille qui existe encore aujourd'hui. Destiné d'abord à la médecine, il se livrait à l'étude de cette science tout en s'appliquant à la lecture d'Aristote et de saint Thomas, lorsqu'un jour, en se promenant à Faenza, il entra dans une église où prêchait un moine augustin. Quelques paroles du prédicateur le frappèrent vivement; il crut entendre la voix même de Dieu qui le conviait à se faire moine, et dès ce moment il résolut de chercher dans le cloître un repos qu'il ne devait jamais y trouver. Le 23 avril 1475, il quitta furtivement sa famille, en laissant sur sa table de travail un traité du mépris du monde et une lettre par laquelle il expliquait à son père les motifs de sa résolution. Empreinte d'une foi ardente et d'une sombre colère contre la perversité du siècle, tendre, éloquente et triviale tout à la fois, cette lettre fait déjà pressentir le mystique exalté qui ne peut supporter la grande méchanceté de certains peuples d'Italie - et le moine enthousiaste qui craint de voir le diable lui sauter sur les épaules, et qui refuserait de retourner dans le siècle lors même qu'il pourrait y devenir plus grand que César-Auguste. Frère Jérôme, en quittant la maison paternelle, s'était retiré à Bologne, dans un couvent de l'ordre de saint Dominique. Il y remplit pendant un an les fonctions de tailleur et de jardinier, et prit l'habit en 1476. Ces premières années de sa vie claustrale ne sont marquées par aucun incident notable. Comme tous les autres moines, il étudie Aristote, saint Thomas, l'Écriture sainte ; il instruit les novices, il parcourt les villes et les campagnes pour prêcher et pour confesser, sans que rien le fasse encore distinguer, et il attend Jusqu'à l'âge de trente-quatre ans, c'est-à-dire jusqu'à l'année 1486, avant de commencer sa mission prophétique...

  • av Charles Louandre
    476,-

    Dans cette étude approfondie de la noblesse française, Charles Louandre explore l'histoire, le rôle politique et social, ainsi que la décadence de cette institution sous l'ancienne monarchie. Une lecture enrichissante pour quiconque s'intéresse à l'histoire et à la politique de la France.This work has been selected by scholars as being culturally important, and is part of the knowledge base of civilization as we know it.This work is in the "public domain in the United States of America, and possibly other nations. Within the United States, you may freely copy and distribute this work, as no entity (individual or corporate) has a copyright on the body of the work.Scholars believe, and we concur, that this work is important enough to be preserved, reproduced, and made generally available to the public. We appreciate your support of the preservation process, and thank you for being an important part of keeping this knowledge alive and relevant.

  • av Charles Louandre
    426 - 560,-

  • av Charles Louandre
    956 - 1 240,-

  • av Charles Louandre
    280,-

  • av Charles Louandre
    276 - 446,-

  • av Charles Louandre
    326,-

    Histoire de la littérature française par les monuments, depuis ses origines juqu'à nos jours, publiée par Charles Louandre.... T. I. Prosateurs Date de l'édition originale: 1863-1864Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

  • av Charles Louandre
    326,-

    Histoire de la littérature française par les monuments, depuis ses origines juqu'à nos jours, publiée par Charles Louandre.... T. II. PoètesDate de l'édition originale: 1863-1864Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

  • av Charles Louandre
    186,-

    Conférences sur l'histoire locale faites à l'école mutuelle d'Abbeville / par M. Ch. Louandre; recueillies et publiées par M. Alcius LedieuDate de l'édition originale: 1880Sujet de l'ouvrage: Abbeville (France)Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

  • av Charles Louandre
    200,-

    Les idées subversives de notre temps: étude sur la société française de 1830 à 1871 / Charles LouandreDate de l'édition originale: 1872Sujet de l'ouvrage: France -- 1830-1848 (Louis-Philippe)France -- 1848-1870Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

  • av Charles Louandre
    326,-

    Histoire de la littérature française par les monuments, depuis ses origines juqu'à nos jours, publiée par Charles Louandre.... T. I. Prosateurs Date de l'édition originale: 1876Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

  • av Charles Louandre
    326,-

    Histoire de la littérature française par les monuments, depuis ses origines juqu'à nos jours, publiée par Charles Louandre.... T. II. PoètesDate de l'édition originale: 1876Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

  • av Ferdinand Sere & Charles Louandre
    326,-

    Les arts somptuaires du Ve au XVIIIe siecle. Premiere partie, Histoire du costume et de l'ameublement... / par Ferdinand Sere,...Date de l'edition originale : 1852-1853Ce livre est la reproduction fidele d'une oeuvre publiee avant 1920 et fait partie d'une collection de livres reimprimes a la demande editee par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliotheque nationale de France, offrant l'opportunite d'acceder a des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.Les oeuvres faisant partie de cette collection ont ete numerisees par la BnF et sont presentes sur Gallica, sa bibliotheque numerique.En entreprenant de redonner vie a ces ouvrages au travers d'une collection de livres reimprimes a la demande, nous leur donnons la possibilite de rencontrer un public elargi et participons a la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.Nous avons cherche a concilier la reproduction fidele d'un livre ancien a partir de sa version numerisee avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous esperons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entiere satisfaction.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.frhttp://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6211547d

  • av Charles Louandre
    246,-

    La sorcellerie / par Ch. LouandreDate de l'edition originale: 1853Sujet de l'ouvrage: Sorcellerie -- HistoireCe livre est la reproduction fidele d'une oeuvre publiee avant 1920 et fait partie d'une collection de livres reimprimes a la demande editee par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliotheque nationale de France, offrant l'opportunite d'acceder a des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.Les oeuvres faisant partie de cette collection ont ete numerisees par la BnF et sont presentes sur Gallica, sa bibliotheque numerique.En entreprenant de redonner vie a ces ouvrages au travers d'une collection de livres reimprimes a la demande, nous leur donnons la possibilite de rencontrer un public elargi et participons a la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.Nous avons cherche a concilier la reproduction fidele d'un livre ancien a partir de sa version numerisee avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous esperons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entiere satisfaction.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.frhttp: //gallica.bnf.fr/ark: /12148/bpt6k2041965

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