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  • av Matgioï
    340,-

    " Lors de l¿une de ses nombreuses expéditions en Asie, Matgioi, fin connaisseur de la Chine et de ses traditions, eut le privilège d¿être initié par un grand Maître Taoïste. Au début du XXème siècle, dans une Europe qui se percevait encore comme le seul et unique berceau de la civilisation, l¿auteur se donna pour mission de diffuser l¿enseignement du Taoïsme, ses principales doctrines et les applications qui en découlent :« Je n¿ai pas voulu davantage mettre en opposition deux doctrines, ou, pour mieux parler, deux enseignements humains sur une doctrine. ¿ J¿ai simplement pensé que, à une époque où l¿on s¿efforce de remonter aux sources de la science humaine, afin d¿y trouver la vérité à peu près impolluée, j¿ai pensé qüil était bon de représenter la source primordiale et traditionnelle de toute connaissance, le flot initial dont toute l¿humanité est tributaire » Matgioi."

  • av Matgioï
    330 - 476,-

  • av Matgioï
    276 - 446,-

  • av Matgioï
    196,-

    L'¿uvre directe laissée par Laotseu, qui a influé et influera longtemps encore sur l'esprit des hommes avec une puissance singulière, est, matériellement, l'une des moins considérables qui existent. La traduction du Te est conçue dans la même forme, rédigée avec la même précaution que la traduction que j'ai donnée du Tao. Je présente ici cette très fidèle traduction du Te, que mes lecteurs français trouveront peut-être inutile et obscure, mais qu'à coup sûr mes maîtres chinois ne désavoueraient point.Une tradition vivanteVivre de la vie de ces hommes, écouter leurs discours, voir leurs maximes mises en action : étudier les enseignements des TONGSANG, docteurs laïques, professeurs de la doctrine métaphysique ; recueillir les rares paroles tombées de la bouche des PHUTUY, fils spirituels des mages hiératiques qui furent les premiers disciples du Maître ; observer les méditations des phap, moines errants, suspects aux dynasties de Péking et de Hué, mystiques qui ont conservé la tradition des sciences divinatoires, voilà la préparation qui semble nécessaire pour mesurer la profondeur des chapitres de Laotseu.Note à propos de l'auteur Matgioi (1861-1939)Georges-Albert Puyou de Pouvourville occupa des fonctions militaires et administratives en Chine. Ses séjours prolongés au Tonkin lui permettent de pénétrer l'esprit chinois. Il rencontre alors un maître Taoïste qui le prépare à recevoir l'initiation dans une société secrète chinoise. Une fois initié, Albert de Pouvourville prend le nom de Matgioi, ¿il du jour . Matgioi revient ensuite en Occident et entreprend de diffuser l'enseignement du Taoïsme, à l'encontre des orientalistes. Il expose ainsi, notamment dans la Voie métaphysique, les doctrines Taoïstes, au point de vue principiel comme dans leurs applications diverses. Matgioi est également connu pour avoir initié le métaphysicien René Guénon au Taoisme.

  • av Matgioï
    310,-

    La conduite du SageLa conduite extérieure du Sage doit être conforme à ces préceptes de sa vie intérieure. Il doit, en effet, puisqu'il est contraint à vivre, vivre le moins possible, c'est-à-dire n'entrer en lutte, ni avec les autres, ni avec lui-même ; ne pas entrer en lutte avec les autres, c'est s'effacer (pour leur laisser la place) ; ne pas entrer en lutte avec soi-même, c'est n'avoir pas de passions. Pour le Sage, sa lumière, son action, ses mérites, son ardeur sont intérieurs ; et il doit montrer aux autres un extérieur précisément opposé ; aussi il ne porte d'ombrage à personne ; et, n'étant envié ni utilisé par per-sonne, il peut consacrer toutes ses forces et tout son esprit à se conformer à son destin. Et il l'atteint inévitablement. C'est ainsi que tout ce qui se veut courbé demeure intact, et que tout ce qui est intact parvient à la Voie.Le présent volume se compose des cinq traductions et commentaires suivants :Commentaire du Tao, de LaotseuCommentaire du Te, de LaotseuLe traité des influences errantes, de QuangdzuLes sept éléments de l'homme et la pathogénie chinoiseLe taoïsme et les sociétés secrètes chinoisesNote à propos de l'auteur Matgioi (1861-1939)Georges-Albert Puyou de Pouvourville occupa des fonctions militaires et administratives en Chine. Ses séjours prolongés au Tonkin lui permettent de pénétrer l'esprit chinois. Il rencontre alors un maître taoïste qui le prépare à recevoir l'initiation dans une société secrète chinoise. Une fois initié, Albert de Pouvourville prend le nom de Matgioi, ¿il du jour . Matgioi revient ensuite en Occident et entreprend de diffuser l'enseignement du taoïsme, à l'encontre des orientalistes. Il expose ainsi, notamment dans la Voie métaphysique, les doctrines taoïstes, au point de vue principiel comme dans leurs applications diverses. Matgioi est également connu pour avoir initié le métaphysicien René Guénon au taoisme.

  • av Matgioï
    196,-

    La politique intérieure et extérieure de l'EmpireJe ne voudrais pas qu'on se trompât au titre de ce modeste exposé : je ne peux pas donner ici une idée, même restreinte, d'une religion aussi abstraite et touffue que le taoïsme ; je ne peux pas non plus divulguer ce que les sociétés chinoises ont de secret, ce qu'elles ne développent à leurs membres, à mesure qu'ils montent en grades et en considération, que sous le sceau du silence le plus formel, et sous les dernières menaces. Et je réserve, pour des jours moins occupés et plus tranquilles, la comparaison des dogmes orientaux et occidentaux, pour faire jaillir de ces enveloppes différentes les mêmes Principes triomphants. Il ne faut donc voir ici qu'un aperçu très rapide sur la sorte dont une religion - non officielle bien entendu - peut servir de drapeau, et en même temps de rideau protecteur à l'ensemble d'une organisation mystérieuse parfaitement systématisée, et sur le rôle intellectuel et social que les chefs de semblables associations s'arrogent et remplissent, dirigeant du fond de leur ombre les événements publics, et troublant de leur anonymat plein d'embûches la politique intérieure et extérieure de l'Empire.Note à propos de l'auteur Matgioi (1861-1939)Georges-Albert Puyou de Pouvourville occupa des fonctions militaires et administratives en Chine. Ses séjours prolongés au Tonkin lui permettent de pénétrer l'esprit chinois. Il rencontre alors un maître Taoïste qui le prépare à recevoir l'initiation dans une société secrète chinoise. Une fois initié, Albert de Pouvourville prend le nom de Matgioi, ¿il du jour . Matgioi revient ensuite en Occident et entreprend de diffuser l'enseignement du Taoïsme, à l'encontre des orientalistes. Il expose ainsi, notamment dans la Voie métaphysique, les doctrines Taoïstes, au point de vue principiel comme dans leurs applications diverses. Matgioi est également connu pour avoir initié le métaphysicien René Guénon au Taoisme.

  • av Matgioï
    196,-

    Le corps (Xuong, substances organiques) et le sang (Maû, véhicule de la vie animale) constituent les éléments inférieurs de l'homme. Le Wun ou volonté céleste qui tient le composé humain en son intégrité (se rappeler Paracelse), parcelle divine qui est en nous, et l'entendement (Tinh) qui est, non pas la faculté de raison, mais la faculté des associations d'idées, constituent les éléments supérieurs. Voilà le corps et l'esprit dont l'union fait l'homme. Or, le sang, si pur, si globulé qu'il soit, ne peut servir à entretenir l'existence physique, s'il n'est à la fois agile, chaud et vibrant ; il existe donc forcément en nous une faculté de chaleur, de mouvement, de lumière, qui est en dehors de toute physiologie et au-dessous de tout entendement. Cette faculté a trois modalités de révélation et d'¿uvres bien distinctes ; et il convient de lui laisser sa triple détermination, si on ne veut pas errer - en cet invisible et, par suite, difficile domaine - au moment de la spécialisation.Note à propos de l'auteur Matgioi (1861-1939)Georges-Albert Puyou de Pouvourville occupa des fonctions militaires et administratives en Chine. Ses séjours prolongés au Tonkin lui permettent de pénétrer l'esprit chinois. Il rencontre alors un maître Taoïste qui le prépare à recevoir l'initiation dans une société secrète chinoise. Une fois initié, Albert de Pouvourville prend le nom de Matgioi, ¿il du jour . Matgioi revient ensuite en Occident et entreprend de diffuser l'enseignement du Taoïsme, à l'encontre des orientalistes. Il expose ainsi, notamment dans la Voie métaphysique, les doctrines Taoïstes, au point de vue principiel comme dans leurs applications diverses. Matgioi est également connu pour avoir initié le métaphysicien René Guénon au Taoisme.

  • av Matgioï
    196,-

    Le Traité des Influences Errantes ne relève d'aucune religion extrême orientale, et je serais fâché qu'on l'attribuât à l'esprit taoïste. Le traité des Influences est un exemple curieux de l'adaptation, à l'esprit chinois moderne, et au lettré ordinaire, de concepts antiques et, malgré tout, indéformables. C'est un exemple surtout de la spécialisation des principes de la Voie à l'hypothèse des influences errantes, dont les savants de certaines époques ont si longuement parlé, et dont l'importance semble aujourd'hui éclater à nouveau.Explications de certaines théories obscuresLes notes que j'ai ajoutées au texte du livre ne renferment que des explications en langage vulgaire de certaines théories obscures ; c'est la mise au point d'un texte concis, dont l'auteur n'a point pris la peine de répéter les vérités que ses lecteurs chinois devaient connaître d'autre part. J'entends donc que l'on n'attribue à nulle religion, à nulle école philosophique, les préceptes ou les propositions dont on va lire l'étrange assemblage, assemblage dans lequel on pourra reconnaître, tantôt Dante, et tantôt Paracelse.Note à propos de l'auteur Matgioi (1861-1939)Georges-Albert Puyou de Pouvourville occupa des fonctions militaires et administratives en Chine. Ses séjours prolongés au Tonkin lui permettent de pénétrer l'esprit chinois. Il rencontre alors un maître Taoïste qui le prépare à recevoir l'initiation dans une société secrète chinoise. Une fois initié, Albert de Pouvourville prend le nom de Matgioi, ¿il du jour . Matgioi revient ensuite en Occident et entreprend de diffuser l'enseignement du Taoïsme, à l'encontre des orientalistes. Il expose ainsi, notamment dans la Voie métaphysique, les doctrines Taoïstes, au point de vue principiel comme dans leurs applications diverses. Matgioi est également connu pour avoir initié le métaphysicien René Guénon au Taoisme.

  • av Matgioï
    270,-

    La Tradition PrimordialeAinsi, le premier des hommes, Fohi cristallisa la Tradition Primordiale, Laotseu en tira un corps de doctrine, Confucius en tira un système de morale. Peut-on dire que l'un de ces héritages intellectuels ou que leur amalgame forma une Religion, dans le sens que l'occident donne à ce mot ? C'est impossible ; rien ne serait plus absolument contraire à la vérité. Et cependant il n'y a pas autre chose, dans les races jaunes, pour relier l'homme à Dieu ; et il n'y a pas de pays de l'univers où la croyance à l'Être Suprême soit plus universelle et paraisse plus raisonnable que dans les pays de race jaune. - D'où vient cette apparente contradiction ? Elle vient de l'essence même de la Tradition. Il n'y a pas besoin de religion pour relier l'homme au Ciel, la tradition y suffit : elle est le cordon métaphysique par quoi l'Humanité tient toujours à l'Essence ; rien ne l'a rompu ; rien ne l'a relâché ; et cela sera ainsi tout le long du temps.Note à propos de l'auteur Matgioi (1861-1939)Georges-Albert Puyou de Pouvourville occupa des fonctions militaires et administratives en Chine. Ses séjours prolongés au Tonkin lui permettent de pénétrer l'esprit chinois. Il rencontre alors un maître taoïste qui le prépare à recevoir l'initiation dans une société secrète chinoise. Une fois initié, Albert de Pouvourville prend le nom de Matgioi, ¿il du jour . Matgioi revient ensuite en Occident et entreprend de diffuser l'enseignement du taoïsme, à l'encontre des orientalistes. Il expose ainsi, notamment dans la Voie métaphysique, les doctrines taoïstes, au point de vue principiel comme dans leurs applications diverses. Matgioi est également connu pour avoir initié le métaphysicien René Guénon au taoisme.

  • av Matgioï
    310,-

    L'orgueil individuel est la chose qui est, dans toute la race jaune, la plus inconnue, et paraît, aux yeux des Jaunes qui le constatent chez d'autres races, la plus incompréhensible. Le respect des Ancêtres morts à qui l'on se rattache, la solidarité avec les vivants, qui sont tous des parcelles d'un même grand être social, éloignent le Chinois de toute recherche de particularisa-tion. Ainsi le veut l'enseignement traditionnel, auquel nul esprit n'échappe, et dont chacun porte l'empreinte, d'autant plus forte et plus accusée, qu'il a travaillé davantage, et que l'étude de l'héritage intellectuel ancestral l'a fait plus savant. L'orgueil collectif de la race est une fierté louable, mais l'orgueil particulier de l'individu est une ridicule et répréhensible vanité. Aussi, dans la caste philosophique, qui est comme la tête de ce grand corps des lettrés, on s'applique moins à être l'inventeur hardi de nouvelles conceptions que le fils pieux et le gardien incorruptible de la conception primitive et traditionnelle.Comme nous le verrons plus loin, cette tournure d'esprit, obligatoire comme un rite à tel point qu'un penchant contraire paraîtrait criminel et sa-crilège, fait que tous les systèmes philosophiques, de quelque plan de la philosophie générale qu'il puisse être question, sont issus du premier sys-tème philosophique qui fut exprimé, c'est-à-dire du Yiking de Fohi et de Wenwang.

  • av Matgioï
    390,-

    Les religions actuelles des peuples jaunes se composent d'une foule d'éléments divers. Il n'y faut voir qu'un fatras populaire, issu de trois foyers générateurs : la religion primitive, le taoïsme, le confucianisme. Ces trois influences, amalgamées plus ou moins heureusement à travers les siècles, constituent la religion traditionnelle de l'empire : à ces trois influences cor-respondent trois liturgies, qui forment l'ensemble des cérémonies officielles et populaires.Les voyageurs, les missionnaires, tous les étrangers aux races jaunes, qui ont jugé le statut traditionnel chinois sur cet extérieur, ont pris l'apparence pour la réalité ; eussent-ils d'ailleurs, ce dont ils n'avaient ni le temps ni le goût, essayé de pénétrer plus avant, qu'ils eussent été arrêtés par les dé-tenteurs de la Tradition Primordiale, qui n'est pas vulgarisée parmi le peuple chinois, et que l'on cache a fortiori aux lointains barbares.

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