Marknadens största urval
Snabb leverans

Böcker utgivna av Prodinnova

Filter
Filter
Sortera efterSortera Populära
  • av Joseph Viktor Widmann
    276,-

    ...Il était donc de forte race, de celle qui donne les hardis chasseurs de chamois. Sa vive intelligence l'avait poussé vers l'étude. Depuis qu'il avait quitté son village, chaque fois qu'il le pouvait, le docteur retournait, le coeur joyeux et le corps alerte, à ses glaciers et à ses hauts sommets. Cette humble origine lui avait imposé bien des privations; de bonne heure, il avait été réduit à gagner lui-même l'argent qu'absorbaient ses études. D'un autre côté, grâce précisément à cette robustesse naturelle, il était à même de déployer toutes les énergies de son esprit sain et viril...

  • av Marie-Anne De Bovet
    290,-

    Ce roman historique se déroule au XIIIe siècle, pendant la guerre de Cent Ans entre la France et l'Angleterre, et se concentre sur la vie de deux personnages principaux, Guillaume de Montfort et Jeanne d'Arc. Guillaume de Montfort est un chevalier français qui a été capturé par les Anglais et emprisonné pendant plusieurs années. Il est finalement libéré et retourne en France, où il rencontre Jeanne d'Arc, une jeune fille qui croit avoir été choisie par Dieu pour libérer la France de l'occupation anglaise...

  • - Tome II
    av Walter Scott
    360,-

    Un livre passionnant qui plonge le lecteur dans l'histoire tumultueuse de l'Écosse. Walter Scott raconte l'histoire de son pays avec passion et érudition. Ce livre est une invitation à la découverte de l'Écosse et de son riche patrimoine culturel.

  • - Tome I
    av Walter Scott
    370,-

    Un livre passionnant qui plonge le lecteur dans l'histoire tumultueuse de l'Écosse. Walter Scott raconte l'histoire de son pays avec passion et érudition. Ce livre est une invitation à la découverte de l'Écosse et de son riche patrimoine culturel.

  • av George Meredith
    280,-

    Un bourreau de coeurs ignorant des défaites n'a sans doute pas plus conscience de rôder par la campagne à la poursuite d'une coquette, que la diligente Arachné de tisser une toile destinée à la capture d'un lion dévorant. À dix-sept ans, Clotilde de Rüdiger était lasse de conquêtes. Conquêtes déjà nombreuses, car elle avait commencé tôt, s'étant trouvée, dès son aurore, douée d'une imagination vive, d'une taille parfaite, d'yeux admirables et de rares séductions de teint et de prestance. Elle appartenait, de naissance, à la petite aristocratie de son pays. La nature l'avait prédisposée à la coquetterie, manière d'escrime, passe-temps souvent innocent, souvent utile, mais parfois dangereux, dans ces milieux de barbarie dégrossie qu'on nomme sociétés aristocratiques, où la nature humaine, loin d'être absente, se manifeste au contraire avec une exubérance tropicale, en raison des heures de loisir que lui permettent les copieuses libations de soleil...

  • av Caroline D'Arjuzon
    266,-

    ... Aussi comme elle est propre ! son tablier blanc est affreux à voir ! ses bottines sont boueuses, et ses mains, ses pauvres petites mains, font horreur! Elle a chaud, très chaud, elle a enlevé son grand chapeau de paille, et, à peine, au milieu de ses cheveux en broussaille, aperçoit-on sa petite figure très fine, qu'éclairent deux yeux bleus comme des myosotis...

  • av Lucien Fabre
    396,-

    Le premier Octobre 1875 qui était un mardi, vers les trois heures de relevée, un homme sortit subitement de la maison qui porte encore le numéro vingt-six dans la rue des Rosiers. Il tombait une grosse pluie froide. L'homme maugréa un instant sur la porte en ouvrant son parapluie. Puis il se retourna brusquement, assujettit sur la tête d'un gamin qui se tenait dans l'ombre du couloir, un capuchon de laine bleue et partit à grandes enjambées, au milieu de la boue et d'un ruissellement de torrent, tandis que l'enfant dont un cartable battait le dos, trottinait sur ses pas en geignant et toussant...

  • av Margaret Oliphant
    266,-

    Voici un petit roman qui est, à mon goût, une merveille. M. Henri Bremond a eu l'heureuse idée de traduire de l'anglais la Ville enchantée. Et qu'un tel esprit, à qui nous devons d'avoir mieux compris Newman et Fénelon, se soit plu à cette tâche effacée, voilà un signe, plus clair que toutes les préfaces, en faveur de ce petit livre. Pourtant, je ne puis m'empêcher d'y joindre mon témoignage et de dire à mes amis: Écoutez, recueillez cette note charmante et très haute, le son argentin d'une cloche. C'est l'accent qu'aujourd'hui beaucoup de nous désirent d'entendre...

  • av Octave Béliard
    250,-

    La roulade finale du saxophone, brillante comme la prouesse d'un clown, éveilla un murmure d'allégresse et les applaudissements claquèrent, mêlés d'interjections britanniques. Mais tout aussitôt le jazz du Savoy - comme s'il craignait de laisser s'éteindre cette joie factice - fit entendre la première phrase d'un charleston. Jean-Paul Hibeau écoutait, les yeux clos, peut-être parce qu'il s'endormait en effet, mais plus probablement pour mieux faire pénétrer en lui l'image du hall lumineux, plein de chaleur et de parfums, les couples élégants agités au rythme de la danse ou souriants autour des tables parmi les cristaux et les fleurs...

  • av Noëlle Roger
    250,-

    Le professeur Folaillon, de l'Institut de France, achevait enfin sa communication sur les organes respiratoires de l'algue des rochers. Autour de la longue table académique, ses collègues qui dodelinaient leur tête blanche ou grise se réveillèrent pour écouter les remerciements d'usage. La lumière parcimonieuse d'un maussade après-midi de mars grisaillait ces fronts augustes, et le biologiste Théodore Lumagne songea qu'ils se ressemblaient à la fois par les stigmates de l'âge et par cette noblesse que la vie de l'esprit confère à ses adeptes...

  • av Pierre Loti
    250,-

    Ce treizième été de ma vie, où s'arrête le livre de mon enfance, me réapparaît, dans le lointain de ma mémoire, comme l'un des plus lumineux de nos beaux étés de France, un de ces étés comme nous en avions autrefois et qui ne se retrouvent plus de nos jours. Septembre finissait dans une splendeur qui semblait inaltérable et l'abondance des fruits dorés devenait telle qu'on ne savait qu'en faire. Au fond du jardin de l'oncle du Midi, chez qui je passais mes vacances, dans ce berceau de treilles muscat où j'avais décidé de ma destinée, les grands papillons à reflet de métal bleu, qui n'avaient plus guère qu'un mois à vivre, s'attardaient posés sur les pampres roussis, pour se pâmer de chaleur et de soleil avant de mourir...

  • av Pierre Loti
    266,-

    ...Sous la tente que j'habite depuis une heure, au seuil du désert, je relis cette lettre qui doit être mon sauf-conduit à travers les tribus hostiles. Au bas de la page, en mystérieux caractères, est inscrite la très occulte invocation divine de la secte des Senoussi, qui a son foyer là-bas, au Moghreb, et dont le séïd est le représentant pour l'Arabie orientale.Les dangers du voyage, il est vrai, je n'y crois guère, et leur attrait chimérique n'est pas ce qui m'amène ici; mais, pour essayer de voir encore, sous l'envahissement des hommes et des choses de ce siècle sans foi, la sainte Jérusalem, j'ai voulu y venir par les vieilles routes abandonnées et préparer mon esprit dans le long recueillement des solitudes...

  • av Renée Vivien
    190,-

    ... Parmi ces filles d'honneur, pour la plupart jeunes et blondes comme leur souveraine, est une enfant brune, maigre et pâle. Mais on admire en elle un beau col long et pareil à la tige d'un lys, et de deux yeux splendides. Et ces yeux sont deux noires étoiles fixées dans un étroit visage brun.Telle est cette enfant de naissance obscure et négligée, qui plus tard sera la souveraine adorée et toute-puissante du royaume d'Angleterre.On ne la juge point belle. On ignore cette enfant chétive au long col, aux yeux noirs, cette enfant chétive et dédaignée qui cependant est la future Anne Boleyn...

  • av Margaret W Hungerford
    290,-

    ... Petite, oui, plutôt; cheveux bruns toujours embroussaillés, rebelles à la brosse et au meilleur cosmétique de Roland, yeux bleus ou gris suivant le temps et mon humeur. Extrémités fines... mais, comme depuis dix-sept ans je professe une sainte horreur pour les gants, la peau de mes mains, à force de hâle, est devenue brun foncé.Ma taille, si l'on veut en croire mon frère aîné, a une étonnante analogie avec une canne à pèche, mais mon nez, lui, est présentable, et j'en suis passablement fière...

  • av Grazia Deledda
    266,-

    Élias, un jeune pâtre, revient en Sardaigne après avoir purgé une peine de prison sur le continent. Il tombe amoureux de Maddalena qui l'aime aussi. Mais elle est fiancée au frère aîné d'Elias, Pietro. Sa passion dévore Elias qui se débat, se torture. La vie rude et simple dans les pâturages ne le met pas à l'abri de tentations. Que faire? Céder, empêcher le mariage? Renoncer? Il hésite. Des conseils contradictoires - car certains ont surpris son secret - augmentent encore son indécision.

  •  
    306,-

    D'ailleurs, n'avait-il pas mille fois douté personnellement de sa parfaite pureté ? Elle en savait plus long que lui, elle, une femme. Un jour, dans la salle de bain, ne s'était-elle pas laissé caresser le cou, la gorge et s'il avait voulu baiser ses seins, sa mouche noire... tout son corps, enfin !... Mais non, elle ne se respectait pas, cette femme ! On venait la nuit chez elle, on l'épousait. Mon Dieu ! lui qui serait resté à ses genoux des heures entières, ne demandant que le bout de ses doigts à lécher !...

  • av Henri Lichtenberger
    266,-

    George Frédéric Philippe de Hardenberg, - ou pour le désigner par le pseudonyme sous lequel il est connu dans l'histoire littéraire, Novalis - naquit le 2 mai 1772 à Wiederstedt, dans le comté de Mansfeld, sur le bien patrimonial de son père, le baron Henri Ulric Erasme de Hardenberg.Son enfance s'écoula dans un milieu sans lumière et sans joie.Le château familial des Hardenberg était un vieux couvent du XIIIe siècle, aux fortes murailles dominées par une tour massive, aux fenêtres cintrées entourées de vigne vierge, avec de grandes pièces hautes de plafond et de longs corridors sonores. Tout autour, un vaste parc, sévère et sans fleurs, ombragé d'arbres séculaires parmi lesquels dort un étang noir. C'est dans cette sombre et hautaine demeure, dans un rez-de-chaussée humide et sans jour, que se passent les premières années de Novalis...

  • av Noëlle Roger
    280,-

    Une famille bourgeoise parisienne doit quitter précipitamment son lieu de vacances devant la subite montée des eaux. L'eau recouvre en quelques jours une grande partie de l'Europe. Poursuivie par les flots déchaînés, elle s'enfuit dans le Valais en Suisse et c'est dans le vallon de Susanfe qu'elle se réfugie avec quelques valaisans rescapés et des bergers...

  • av Noëlle Roger
    280,-

    Le physicien Étienne Kerluce emmène un groupe d'amis vers les Açores, à la recherche de l'Atlantide. Une île non cartographiée surgit au milieu des flots, comme remontée des profondeurs marines. Les aventuriers y accostent pour la visiter et découvrent un temple creusé dans la roche. Une lumière d'origine mystérieuse en émane et ne s'éteint jamais. À son retour en France, Kerluce est transformé. Quels mystérieux pouvoirs a-t-il acquis durant son séjour sur l'îlot?

  • av Noëlle Roger
    236,-

    Le narrateur, diplomate en Syrie se voit confier un mystérieux ouvrage, traitant d'une religion inconnue, qui vient de causer la mort de son détenteur. Tandis qu'il le confie à son tour à un collègue, afin que le livre rejoigne la France par le biais de la valise diplomatique, les morts inexpliquées s'enchaînent. En prise aux fièvres de la malaria, et des plus sinistres pressentiments, le narrateur rentre en France, dans sa maison de campagne. Cherchant à remettre ce livre, il contacte des savants orientalistes... Mais le livre n'a pas fini de faire des victimes, des adeptes de cette religion étant décidés à maintenir le secret le plus absolu sur leur doctrine...

  • av Hector Malot
    346,-

    Georges Saffarel, un jeune avocat ambitieux et sans scrupule, rejette l'amour de sa cousine, Charlotte de la Héraudière, fille d'un savant avec qui il a été en partie élevé car il estime qu'elle est incapable de devenir femme de ministre. Il lui fait rencontrer un camarade d'université, Emmanuel Narbanton, qui aime les sciences, ce qui plaît à son oncle qui étudie les cairns dans sa propriété bretonne...

  • av Friedrich Von Schiller
    250,-

    Le narrateur raconte comment son ancien ami, prince allemand, protestant austère, a été progressivement amené à côtoyer à Venise, où il séjournait temporairement, une société dépravée. Sa faiblesse de caractère et sa crédulité ont été exploitées et manipulées par des subterfuges et des tentations variés, écartant les amis fidèles qui auraient pu gêner les machinations. Le livre raconte cette emprise, savamment dosée, pour parvenir à des buts qui ne seront dévoilés qu'à la fin de l'histoire...

  • av Eugène Dabit
    330,-

    De 1928 à 1936, Eugène Dabit écrit son journal, en parallèle avec l'écriture de ses romans. Peu enthousiaste au début, ses phrases sont courtes et peu significatives, mais peu à peu, se prenant au jeu, il y livre ses pensées intimes et rédige même de longues tirades philosophiques et des récits qui seront les prémisses de ses romans...

  • av Maurice Magre
    166,-

    ... Car cette grosse dame jouit d'un pouvoir terrible et discrétionnaire. Elle peut te faire crédit des vingt francs que tu lui donnes tous les quinze jours pour la chambre où tu vis; elle peut au contraire empoisonner ton existence en te les réclamant âprement, elle peut t'obliger à t'enfuir de chez toi, le matin, avant qu'elle ne soit levée, pour ne rentrer que dans la nuit, quand elle dort...

  • av Alfred de Musset
    236,-

    Gamiani ou Deux nuits d'excès est un roman d'Alfred de Musset édité pour la première fois en 1833. Ce roman est l'ouvrage licencieux le plus lu et le plus réimprimé de tout le XIXe siècle. Le roman raconte deux nuits de la vie de la comtesse Gamiani marquées par ses ébats avec Fanny et Alcide.

  • av Renée Dunan
    190,-

    ... Le balai, jeté dans les jambes de l'enfant furieuse et riante, la fit trébucher fâcheusement. Elle ricocha sur le fauteuil avachi qui bordait la fenêtre, là où il est si doux d'épier les passants. Le fauteuil la renvoya sur le lit, car la pièce était étroite, se trouvant au septième d'une maison pauvre, en Ménilmontant. La mère de Zine put alors empoigner sa fille à plein corps et lui tenir la tête basse, puis, gaillardement elle releva la petite jupe effilochée et administra une solide fessée à la gaillarde braillante qui se tordait comme un ver...

  •  
    250,-

    Car Raoule avait défait son gilet de soie blanche, et, pour mieux sentir les battements du coeur de Jacques, elle avait appuyé l'un de ses seins nus sur sa peau; un sein rond, taillé en coupe avec son bouton de fleur fermé qui ne devait jamais s'épanouir dans la jouissance sublime de l'allaitement. Jacques avait été réveillé par une révolte brutale de toute sa passion. Il repoussa Raoule, le poing crispé - Non ! non ! n'ôte pas cet habit, hurla-t-il, au paroxysme de la folie...

  • av Alfred Jarry
    190,-

    ... Hélas, les pensées ! Les rimes sont là, mais les pensées, les pensées ! Je m'assieds là, je bois du café, je mâche des plumes, j'écris, je biffe, et je ne peux trouver aucune pensée, aucune pensée! Même les oasis de la masturbation sont désertes pour moi ! Ha, comment saisir cela ? Halte, halte! quelle idée me vient ? Somptueux, divin ! C'est précisément sur cette pensée, que je ne puis trouver de pensées, que je vais faire un sonnet, et vraisemblablement cette pensée sur le manque de pensée est la plus géniale pensée qui pouvait s'offrir à moi. Je vais incontinent sur ce sujet: que je ne puis composer, composer un poème. Que piquant, qu'original ! (Il court devant la glace d'honneur). J'ai bien l'air génial ! (Il s'assied à une table). Maintenant je commence !..

  • av Juliette Lamber
    190,-

    Les désirs de Pé-Kang sont infinis comme l'horizon dans lequel plonge son vague regard, ses pensées nombreuses ainsi que les grains de sable du lit des fleuves. Voudrait-il voir descendre d'un palanquin de noces dans son palais solitaire quelque vierge aux cheveux d'ébène, aux pieds semblables à ceux des tortues dont l'écaille prédit l'avenir ? Non. L'amour n'a pas encore touché de son aile le coeur de Pé-Kang. Les honneurs attachés aux charges de la cour le séduiraient-ils? Pé-Kang est trop jeune pour être ambitieux...

  • av Juliette Lamber
    250,-

    ... Hélène s'était vue devenir très-belle de corps. Sa peau fine, tendue par un embonpoint élégant, lui donnait une envie folle de s'admirer, et elle rêva plus d'une fois de la salle de bain dans la maison grecque où sa mère la baignait enfant. Lorsqu'elle contemplait ses bras nus, ses belles mains potelées, lorsque sa poitrine lui apparaissait avec des seins gonflés, lorsqu'elle marchait la taille souple et molle dans ses hanches arrondies, le souvenir des belles statues de son père ne la faisait plus pleurer de jalousie et de désespoir...

Gör som tusentals andra bokälskare

Prenumerera på vårt nyhetsbrev för att få fantastiska erbjudanden och inspiration för din nästa läsning.