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  • av Francis Francis McCullagh
    370,-

    Francis McCullagh opens the window on Mexico in the 1920s, a nation suffering cruel oppression under the ruthless anticlerical government of President Plutarco Elías Calles and General Álvaro Obregón, indirectly aided and abetted by the government of the USA under President Wilson.In this book, the author reveals the harsh realities of life in Mexico, exposing the iniquitous laws devised and imposed on all things Catholic. He examines the real purpose of these laws, and the main personalities involved, and shows how the resultant uprising of the ordinary people, the Cristero War, led to increased government brutality and the martyrdom of many innocent civilians, particularly priests and young Catholic laymen.Red Mexico is a valuable primary source account of a nation persecuted for its religious faith, written by a man of unquestioned courage and integrity, who was there at the time.We are indebted to Bishop Martín Dávila Gándara for his perceptive and informative foreword, and to María Concepción Márquez Sandoval for her detailed historical appendix.

  • av Eoin O'Duffy
    296,-

    A comprehensive account of the experiences of the volunteer Irish Brigade, founded and led by General Eoin O'Duffy, fighting under the Nationalist flag in the Spanish Civil War (1936-39).The Brigade comprised Irish nationals who, like their leader, regarded the War as primarily a Christian crusade against Communism, with the very survival of Catholic Spain at stake. General O'Duffy, an experienced political activist, soldier, and ex-police Commissioner, was responsible for recruitment and transportation to Spain where the men were barracked at Cáceres, provided with uniforms and received basic military training. The Brigade of some 700 men remained in Spain for about six months, experiencing front-line fighting at La Marañosa and Ciempozuelos, with losses of fifteen dead and many wounded. By this time new Irish law forbade Irish citizens to join the Brigade, and with Nationalist forces well in control, it was time for the Brigade to return to Ireland.In his book the author reveals a deep concern for the welfare of his men, a patriotic love for his country, and a strong devotion to his Catholic faith. He is proud of the courage and demeanour of his troops, echoing the praise received from Spanish military, civil, and religious authorities. History has been ambivalent in its views on the role of the Irish Brigade, but in the words of O'Duffy: "We have been criticised, sneered at, slandered, but truth, charity and justice shall prevail, and time will justify our motives. We seek no praise. We did our duty. We went to Spain."This republication is enriched with a foreword by noted independent academic Michael McCormack, historian and archivist of the Ancient Order of Hibernians.

  • - Pourquoi notre contemporain consent a la servitude et a la mort
    av Merel Joseph Merel
    340,-

    L'Occident se meurt, comme résigné. Il est possible, à ce manque d'instinct de conservation, de trouver diverses raisons plus ou moins convaincantes. Identifier la cause véritable d'un tel collapsus est pourtant la condition sine qua non du réveil de notre désir de vivre, c'est-à-dire de combattre.Déconnecté de toute référence à un Absolu transcendant ayant raison de fin ultime, l'instinct vital des individus et des peuples, leur appétit de victoire, réduits au volontarisme du nihilisme héroïque, dégénèrent en romantisme puis en plat consumérisme, en ce subjectivisme contre lequel ils s'insurgent pourtant parce qu'ils y discernent, précisément, la raison de leur propre décadence.Dissocié du désir d'habiter son monde en y luttant pour coopérer à la pérennité de son ordre immanent, le désir de Dieu se résout, vis-à-vis du monde, en cette indifférence passive qui laisse le champ libre aux fossoyeurs de l'ordre.Le monde moderne est, comme l'enseigne Bernanos, une conjuration contre toute espèce de vie intérieure ; l'intériorité jouit du mérite et requiert comme condition de sa vie propre de nous arracher au monde du divertissement, à cet extérieur mortel et mortifère qui nous dissipe. Et la vie propre de l'intériorité, qui justifie que l'on s'y complaise, nous tourne vers le Transcendant. Mais tout autant l'intérieur dit l'être en puissance, l'indéterminé, l'état de fermentation de ce qui ne s'actualise, ne se découvre qu'en s'extériorisant. Qu'en est-il donc de cet intérieur destiné à n'accéder à la conscience de lui-même qu'à condition de se pencher sur - et même de se dévouer à - ce dont il est pourtant invité à se détourner ? Comment, sous le double rapport de l'Objet désiré et du sujet désirant, concilier immanence et transcendance ?

  • - Les Plus Gros Mensonges des mondialistes
    av Danten Charles Danten
    320,-

  • - Amour difficile et mariage de raison
    av Stepinac
    340,-

  • av Blandine Ollivier
    266,-

  • - Les Hommes qui l'incarnent
    av Louis Le Carpentier
    180,-

  • av Tartempion
    340,-

  • av Tom MacInnes
    266,-

    Tom MacInnes is considered by many as one of the most original Canadian writers of all time. Raised in the Canadian Wild West in the latter half of the 19th century, he witnessed the Gold Rush, which became the subject of his first published work, A Romance of the Lost (1908). While Canada was encouraging immigrant Chinese coolies for the construction of the Canadian railways, MacInnes himself traveled to China to work in the development of the public transport system. After some years, this liberal mind became an ardent nativist, opposing the Yellow Peril then threatening the British fabric of Canada and founding the Canadian Nationalist League.A soul of fire in a land of ice, MacInnes embraced poetry in his middle years, developing a unique style with unfamiliar and idiosyncratic forms, inspired by medieval France. Still he was regarded as "futurist" by his contemporaries, and he sometimes claimed that he was writing for a public yet to be. Unfortunately for posterity, he has been forgotten... but hopefully, no longer!

  • av James Strachey Barnes
    340,-

    Born in India, raised in Italy and Great Britain, James Strachey Barnes (1890-1955) was Secretary-General of the International Centre of Fascist Studies in Lausanne and a personal friend of Benito Mussolini. In the two books grouped in this volume, Barnes sets out to define the philosophy, the worldview (Weltanschauung) and the principles underlying fascism in which he sees a return to medieval values and a spiritual and moral revolt against the causes of the modern decay, namely materialism, subjectivism and individualism. A fervent Catholic, he also demonstrates the perfect compatibility of this doctrine with the teaching of the Church. This republication is enriched with a foreword by Roberto Fiore, a founding member of the Third Position movement and current National Secretary of Forza Nuova and President of the Pan-European nationalist political party Alliance for Peace and Freedom.

  • av Henri Dupre
    296,-

    Du présent ouvrage pourrait incontestablement être tiré le scénario d'un palpitant film d'espionnage. Henri Dupré, militant nationaliste ayant infiltré le Parti communiste, y relate en effet comment, investi de responsabilités au sein des Brigades internationales, il travailla avec une poignée de compagnons au sabotage, à la désorganisation et à la démoralisation des forces antifranquistes lors de la guerre d'Espagne. Cette Légion tricolore , précurseur dans son esprit de celle qui quelques années plus tard défendra la civilisation occidentale sur le Front de l'Est, sauvegarda par l'héroïsme de ses exploits l'honneur militaire de la France.Henri Dupré poursuivra ses opérations clandestines anticommunistes lors de la Seconde Guerre mondiale, infiltrant la Résistance pour le compte du service de renseignement de l'état-major allemand. Ces faits lui vaudront d'être condamné à mort et exécuté en 1951.Le livre, préfacé par Pierre Costantini, dirigeant de la Ligue française et cofondateur de la LVF, a été enrichi pour cette réédition d'une postface de Sylvain Roussillon.

  • av Edith Floral
    296,-

    Persuadé que l'on ne vit pas sur Terre pour être heureux mais seulement pour souffrir afin de mériter son Ciel, Amédée apprenait à vieillir dans la médiocrité quiétiste d'une vie rangée : une famille, une situation, des convictions bien-pensantes suffisamment mornes pour inspirer le sérieux qui suscite le respect. Quand il comprit que son entourage lui mentait depuis toujours et qu'il s'était réduit à une fausse image de lui-même, il découvrit que son prochain n'était que le porte-voix d'un monde inversé, corrupteur et insidieusement despotique, mais fragile parce que fondé sur un mensonge. Amédée sut alors qu'il ne parviendrait à se conquérir qu'en contribuant à faire rendre gorge au monde de son temps. Il n'est pas de salut religieux sans conquête profane de soi-même ; il n'est pas de salut individuel sans conquête politique.

  • av Tartempion
    320,-

  • - Doctrine elementaire du bien commun
    av Jean-Jacques Stormay
    266,-

    Le mondialisme satanique est l'horizon de plus en plus visible de l'histoire contemporaine frénétiquement secouée par des aspirations eschatologiques dévoyées, vécues sur le mode d'un collapsus mortifère de toutes les identités nationales traditionnelles. Le mondialisme est satanique parce qu'il est la forme politique que se donne l'homme révolté pour procéder à une réalisation terrestre du Souverain Bien, c'est-à-dire du Royaume qui pourtant, par essence, n'est pas de ce monde. L'imminence d'un tel danger invite les croyants, les patriotes et plus généralement tous les hommes de bonne volonté attachés à l'ordre des choses, à se tourner, pour le conjurer, vers des solutions exclusivement non politiques (telle la prière). Quand, par ailleurs, le souci de la chose politique n'est pas négligé, ils ont recours à des solutions théologico-politiques orientées vers le service du Bien commun transcendant et séparé, au détriment du service d'un bien commun immanent supposé solidaire, à cause de son immanence, de la pathologie mondialiste, à tout le moins tenu pour impuissant à la détruire. L'objet du présent travail, qui prolonge notre Réflexions sur le nationalisme : En relisant 'Doctrines du nationalisme' de Jacques Poncard d'Assac, est de montrer que ces solutions sont ou bien illusoires, ou bien insuffisantes. L'organicité politique, adéquatement thématisée dans la doctrine bien comprise du nationalisme, demeure, plus que jamais, la médiation obligée entre nature et surnature, vie terrestre et fins dernières. Et toute tentative de conjurer le mondialisme en faisant l'économie d'une réhabilitation de l'organicité nationaliste est vouée à l'échec.

  • - Quand le Marechal parle aux Francais !
    av Philippe Petain
    306,-

  • - Analyse morale et politique
    av Louis Le Carpentier
    186,-

  • av Jean de Mayol de Lupe
    266,-

  • - Le Conflit non surmonte du nationalisme
    av Joseph Merel
    196,-

  • - An Autobiography
    av Gerard Menuhin
    326,-

    This book is an attempt to explain myself to myself.How did I become who I am?My brother confides: "I would have far preferred you to have committed murder than espouse those views."I belong to an almost extinct race: the individual.People who act in groups embarrass and repel me because they lack independence. People who think in groups are even worse. They have voluntarily rejected that part of their bodies which raises them above animals: the mind. They have repudiated their ability to think for themselves. Obviously, Creation was much too generous in its distribution to humanity of brains, as most people can't find any use for them.This general mindlessness has helped those who depend on lies to further an abominable system. Liars are inferior. I abhor inferiority. So I automatically rebel against any system that has been devised to benefit inferior people.I didn't recognize my own conformity within this system until very late in life. During my tortuous development, I struggled through various incarnations, in film, in foreign trade, in literary composition, in environmental job-creation, in journalism, before recovering my identity as an individual. At the moment, my individuality as a historical revisionist has resulted in my becoming a member of an endangered species, and in my relatives considering me to be mad, bad and dangerous to know.

  • - Commentaire de 'La Doctrine du fascisme' de Benito Mussolini
    av Louis Le Carpentier
    266,-

  • - Manuel de combat du traditionalisme revolutionnaire
    av Jean-Jacques Stormay
    560,-

  • av Louis Le Carpentier
    270,-

    Nous sommes catholique, et nous sommes fasciste. Mais surtout, nous sommes catholique et fasciste. Le « et » est ici le plus important. Car, si nous concevons l'ordre naturel et l'ordre surnaturel comme deux ordres réellement distincts, nous ne les comprenons cependant pas comme deux ordres séparés. De sorte que notre fascisme n'a d'autre raison suffisante que notre catholicisme. Tout se tient, car le réel est un ; notre pensée prend la forme d'un système, car le réel est lui-même systématique.Aussi, c'est parce que nous croyons que l'Idée s'identifie objectivement au réel que nous tenons la réflexion ontologique pour vraie ; c'est parce que nous admettons la réflexion ontologique que nous croyons en la possibilité d'une vision naturelle de l'essence divine ; c'est parce que nous croyons en la possibilité d'une telle vision que nous sommes catholique, et que nous estimons la valeur de l'ordre naturel, contre tout modernisme et tout surnaturalisme ; c'est parce que nous estimons la valeur de l'ordre naturel que nous considérons la poursuite du Bien commun politique comme une nécessité ; c'est parce que nous considérons la poursuite du Bien commun comme une nécessité que nous sommes fasciste, et que nous nous opposons à toute forme de démocratie et au personnalisme ; enfin, c'est parce que nous sommes fasciste que nous admettons une forme de violence naturelle et bonne, et que nous croyons conjointement en la nécessité - tout en demeurant réaliste - de poursuivre un idéal.Un idéal supérieur pour lequel « il faudra que des centaines, des milliers d'hommes vivent […], consentant pour lui, à l'avance, tous les sacrifices, toutes les humiliations, tous les héroïsmes. L'heure vient où, pour sauver le monde, il faudra la poignée de héros et de saints qui feront la Reconquête » (Léon Degrelle).Puisse ce travail contribuer - à son humble niveau - à la Reconquête des intelligences, qui est la première de toutes.

  • av Edith Floral
    296,-

    Quand un roman n'a ni la moelle épinière d'une intrigue ni la chair de corps pensants qui agissent, créent et subissent de vrais événements, il se réduit à une éponge absorbant les eaux sales dont ne veulent ni la poésie, ni le théâtre, ni l'essai. Cette souffreteuse velléité de roman est aussi peu appétissante qu'une pensée fâchée avec les images dont elle s'efforcerait en vain à se vêtir. Mais précisément, c'est dans la forme d'un avorton littéraire que se peut signifier la diarrhée d'âmes subjectivistes tellement exténuées qu'elles sont en passe de s'évacuer tout entières dans leur puanteur aqueuse. Dans ce recoin de modernité hanté par les cirons, il y a le narrateur sceptique et sa lâcheté, Jeanne et sa trahison religieuse, Ursule et ses vices, Arnaud et son arrivisme, Ernest et son intransigeance butée. Il y a les conspirateurs inactuels en leur naïveté aigrie, et plusieurs autres figures tristement humaines du désespoir ordinaire. Il y a quand même l'espérance d'une victoire de l'ordre sur la possibilité du désordre en laquelle le premier se risque et se régénère, mais qui l'engloutit et le réduit à lui quand - tel Narcisse - il s'y mire trop longtemps. Et puis il y a les bien-pensants en leur pathologie de pureté faisandée, qui abhorrent le péché non parce qu'il est mortifère, mais à cause de ce qu'il contient encore de vitalité.

  • av Edouard Drumont
    420,-

    Édouard Drumont (1844-1917) ne sut pas seulement mettre en lumière, avec une clairvoyance extraordinaire, les mécanismes de l'action délétère des Juifs et des francs-maçons sur la société française de son temps. Il contribua également pour une grande part, comme le souligna notamment Charles Maurras, à poser les bases du nationalisme moderne. En dépit de son importance dans l'histoire des idées, sa pensée reste très méconnue, y compris au sein de la droite nationale. Une des raisons en est sans doute que son œuvre, foisonnante, relève plus de l'histoire sociale que de la doctrine politique. L'immense intérêt du travail de Joseph-Marie Rouault, dans l'élaboration de La Vision de Drumont, est d'avoir dégagé la pensée philosophique, politique et sociale d'Édouard Drumont des éléments d'actualité, anecdotes, digressions et considérations diverses dans lesquels elle se trouvait quelque peu enfouie.Publiée début 1944, cette anthologie fut mise au pilon après la « Libération ». Nous sommes heureux de la rééditer enrichie d'une préface de l'abbé Olivier Rioult et d'un article d'hommage de Lucien Rebatet paru dans Je suis partout. Nous espérons qu'elle contribuera à faire redécouvrir Édouard Drumont dont le combat pour la civilisation chrétienne reste, malheureusement, plus que jamais d'actualité.

  • av Gioacchino Volpe
    310,-

  • - En relisant 'Doctrines du nationalisme' de Jacques Ploncard d'Assac
    av Jean-Jacques Stormay
    310,-

  • av Augusto Turati
    250,-

    Comme le soulignait Robert Brasillach, le fascisme n'est pas principalement une doctrine politique ou économique mais « un esprit ». C'est cet esprit, cette manière d'être et de voir le monde, cette condition intérieure que le présent ouvrage, essentiellement composé d'extraits de discours et d'articles prononcés et rédigés en 1926 par Augusto Turati alors qu'il occupait la fonction de secrétaire général du Parti national fasciste, s'applique à cerner. Loin des stéréotypes calomnieux véhiculés par la propagande officielle depuis 1945, il dépeint cet idéal de sacrifice, cette « bonté forte », cette passion ardente et cette foi intransigeante qui furent le cœur de la révolution fasciste et qui devront de nouveau embraser l'âme des peuples européens s'ils veulent sauver leurs nations de la subversion mondialiste.Préfacé par Benito Mussolini, le livre est enrichi dans cette réédition d'une postface de Gabriele Adinolfi, figure de proue du fascisme italien contemporain.

  • av Joseph Merel
    310,-

    Le problème - politique - du rapport entre l'Église et l'État, a toujours fait l'objet de controverses passionnées que notre temps n'a ni oubliées ni résolues. Il est conditionné par le problème - métaphysique et théologique - du rapport entre nature et surnature. Pour que le service du bien commun politique immanent ne soit pas antinomique du service du souverain bien transcendant, il est nécessaire de reconnaître, dans le désir naturel du bien commun, une anticipation de soi du désir de Dieu, lequel, dans cette perspective, doit avoir un fondement naturel, sans pour autant que la grâce devienne jamais exigible (déviation moderniste). À cette seule condition, la transfiguration surnaturelle - par la grâce liée à la foi, ainsi à la Révélation - de l'ordre naturel, se dispense de faire valoir, selon une déviation surnaturaliste dialectiquement gravide de réactions naturalistes, ses exigences au détriment de celles de l'ordre naturel. Dans Désir de Dieu et organicité politique, sont évoqués les réquisits logiques et métaphysiques susceptibles de satisfaire à cette condition. Le lecteur voudra bien noter que si cette condition était satisfaite, les tensions conceptuelles, affectives et pratiques entre milieux monarchistes et fascistes, catholiques et néo-païens, traditionalistes réactionnaires et nationalistes révolutionnaires, seraient considérablement apaisées ; c'est d'un tel apaisement que pourrait résulter une unité d'action nécessaire à l'écrasement de la subversion polymorphe dont se meurt notre monde physique et spirituel.L'auteur développe ici des thèmes déjà abordés dans Pour une contre-révolution révolutionnaire, en insistant sur certains points qui alors n'avaient pas fait l'objet d'une attention particulière.

  • av Piero Misciattelli
    266,-

    Piero Misciattelli, dans cet ouvrage initialement paru en 1924, répond aux démocrates-chrétiens italiens adversaires du régime mussolinien et défend une collaboration « pleine et loyale » des catholiques avec le gouvernement fasciste. Au-delà des mesures concrètes prises par le Duce en faveur de l'Église, l'auteur démontre, en s'appuyant sur la philosophie de saint Thomas d'Aquin et les textes du magistère, que fascisme et catholicisme s'accordent parfaitement dans leurs visées politiques, sociales et morales. Il affirme le caractère contre-révolutionnaire du fascisme dans lequel il va jusqu'à voir une forme de mysticisme catholique.Si un tel livre offre un intérêt historique indéniable, son contenu doctrinal mérite plus que jamais aujourd'hui encore l'attention des catholiques, les « catholiques » conciliaires, bien entendu, habituels alliés de la Révolution, mais également les traditionalistes bien-pensants, eux aussi toujours empressés à condamner le fascisme, faisant ainsi le jeu du modernisme et du libéralisme qu'ils prétendent combattre.Le texte de Piero Misciattelli est enrichi dans ce volume d'une postface du philosophe Joseph Mérel.

  • - Essai de conciliation du point de vue catholique
    av Joseph Merel
    380,-

    S'il est un domaine de la conscience planétaire sur lequel se réalise le consensus, de l'extrême gauche à la démocratie chrétienne, c'est bien celui de poursuivre d'une haine inextinguible les idées qui inspirèrent la croisade des fascismes. Il n'est pas jusqu'aux écoles de pensée résistant encore au "politiquement correct" (traditionalisme catholique, royalisme maurrassien, légitimisme) qui ne condamnent avec la dernière violence le corpus doctrinal des grands vaincus de 1945 : déterminisme naturaliste, matérialisme biologique, panthéisme, gnosticisme, immanentisme subjectiviste, destruction de la famille, offenses à la dignité de la personne et à son Créateur, hypertrophie de l'État, tels sont, parmi d'autres, les griefs qu'on leur fait, assortis d'injures et d'accusations controuvées. Il n'est pas étonnant que la progéniture idéologique de 1789 ait besoin de réactualiser sans cesse un mal absolu hypostasié, afin de réussir négativement l'unité que ses délires ne peuvent positivement lui valoir.Il est plus singulier de constater que les tenants de l'extrême droite traditionnelle, aussi divisés aujourd'hui qu'à l'époque de leur prospérité, acceptent sans vergogne le rôle de censeurs supplétifs de la Bête immonde alors que cette dernière, seule, eût pu prévenir le déclin rédhibitoire de leurs principes et de leurs espérances. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale (peut-on, au reste, parler de "fin" ?), on a quand même connu, aussi courageux que rares, quelques plaidoyers fascistes d'inspiration philosophique différente de celle de leurs adversaires droitiers.L'originalité du présent ouvrage est de s'alimenter aux principes mêmes, catholiques et intellectualistes, au nom desquels la Droite a coutume d'anathématiser le fascisme. L'Antifascisme vertueux des traditionalistes bien-pensants se révèle être - horresco referens - le fourrier de la démocratie chrétienne. La croisade des fascismes fut l'expression, à la fois interrompue et en partie dévoyée, de ce dont la Monarchie aurait eu besoin pour ne point sombrer. Plus que de la malignité des méchants, l'ordre européen d'Ancien Régime est mort de son inachèvement doctrinal, c'est-à-dire de ses contradictions non surmontées. Plus qu'à l'hostilité féroce de la Subversion, le fascisme doit son échec à la pusillanimité, à l'indécision, à l'hostilité molle des conservateurs qui, par ces travers, préparèrent leur propre liquidation. Telle est la thèse ici développée, dans une argumentation plus doctrinale qu'historique.Aussi longtemps qu'une telle thèse n'aura pas été digérée par la Droite de conviction, aucune tentative politiqu

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