Om CHRONIQUE D¿UNE AUMÔNERIE DOUBLE
Au c¿ur d¿un lieu sacré et assis sur un banc, commence mon voyage vers une cité connue de l¿inconnue. Entre le passage des vents qui caressent délicatement ces visages des feuilles d¿arbres, et les chansons que m¿exécutent tous ces oiseaux, un air tout frais fait son entrée et me propose de grands récits. D¿une maison très colorée à un logis décoloré, je sens le trouble m¿investir à chaque instant du quotidien. Ainsi, encré dans l¿indécis, je me retire de la première et cheminant vers la deuxième, c¿est tout mon être qui chante le doute. Prenant un temps d¿arrêt précis, la vue d¿observateur se crée pour relever avec audace les scènes de vie des deux maisons. Entre la pluie et le soleil, on voit surgir à contre temps des situations presque identiques qui engourdissent en général nos aptitudes à faire un choix. Comme le soleil s¿en est allé, non sans passer sa forte main à la rigueur même des ténèbres, alors de plain-pied nous entrons dans une série peu reluisante qui nous réclame l¿accent poétique pour préserver les délicates auditions de nos voisins très distingués. Pour un devoir assez sérieux, les portent s¿ouvrent sur un pays qui se complaît dans ses mystères.
Visa mer