Om La Fabrique de crimes
Voici un Objet Littéraire Non Identifié. Dans cette l'histoire abracadabrante à l'excès, l'auteur se moque de la littérature populaire « à un sou », déplore le goût de ses contemporains pour le crime tout en garantissant 73 morts par chapitre multiplie les retrouvailles familiales invraisemblables, présentes dans tous les feuilletons de l'époque. Certains y voient le testament littéraire d'un Paul Féval, écrivain populaire, qui, vers la fin de sa carrière, s'est tourné vers une littérature plus « sérieuse ».
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