Om Persona
En résumant l'ouvrage, l'oiseleur ne peut que trahir le vol de l'oiseau, en tachant la couleur de leurs ailes, de noir goudron, en faussant leurs chants, en blessant les notes de détresses sourdes, d'anathèmes inaudibles sous le vent.
Jouer à cache-cache avec le sens qui s'effaçait à chaque mot passé, comme les dessins sur le sable. Une sagesse « antique » qui se voulait simplement vie.
Rien d'utile à conserver, l'inutile nous unit, hors des cases d'une marelle qui toujours nous mène à l'enfer des parvenus, pour passer le gué, dessiner un paysage qui jamais n'existe.
Il faut se faire passeur de paroles, pour ne jamais se soumettre à l'irresponsabilité des mots. Si on les conjugue, ils mentent, ils étouffent les « Notes d'instants » les intrigues du temps.
Visa mer