Om Reine d'Arbieux
«... Les rosiers et la vigne vierge tapissaient les murs. On ne voyait aussi que de vieilles fleurs dans les massifs de la terrasse. La gerbe d’eau des arrosoirs passait éternellement, les soirs de chaleur, sur la pourpre opaque des géraniums, les grappes bleu-violet des héliotropes et le doux cornet des pétunias, flexibles, fripés par le grand soleil, tout englués de sève sucrée, dont le crépuscule développait l’odeur délicate. Les bordures étaient faites d’une plante basse, dont les feuilles semblaient des langues de feutre grisâtre...»
Visa mer